Paradise Book

Indiana Teller - Lune de printemps

 

 

 

Résumé :

Dans les interminables plaines du Montana s’étend le Lykos Ranch. Alentour, les voisins sont loin de se douter que ses occupants sont les membres de l’un des clans de loups-garous les plus puissants d’Amérique du Nord. Parmi eux, un seul humain a sa place : Indiana Teller.

 

 Né de l’union d’une humaine aux pouvoirs mystérieux et d’un loup-garou, Indiana est le petit-fils et seul héritier du chef de la meute. Se sentant étranger parmi les siens, il part en quête d’une vie normale et rejoint l’université du Montana. Là-bas, il fait la connaissance de la troublante Katerina O’Hara et de Tyler Brandkel, le fils d’un éternel rival de son grand-père.

 Quand Indiana sort miraculeusement indemne d’un terrible accident en se volatilisant au dernier moment, il comprend qu’il a le pouvoir de rebrousser le temps lorsqu’il est en danger. Voilà un atout précieux, car son accident semble suspect. Quelqu’un a-t-il tenté de l’éliminer ? La sécurité des loups n’a jamais été aussi menacée.

 

Avis :

Alors ce livre aussi, je l’ai lus il y a un moment aussi, mais je me rappelle de l’essentiel quand même.

Je me rappelle que notre cher Indiana a un humour qui met une certaine gaieté dans le livre, ça met un peu de piment, surtout dans certains moments où normalement on pense comment il va se sortir de là ;p

Pour l’histoire en générale, je la trouve quand même rechercher. D’accord, c’est du déjà vu dans le fond avec les loups, les loups-garou, les vampires, les fées, et j’en passe, mais l’auteure innove avec les rebrousses-temps. Ces humains qui peuvent revenir dans le temps, et qui sont très précieux pour le clan. Bien sûr, comme on peut s’y attendre, notre héros et un rebrousse-temps mais je trouve que ça ne tourne pas obligatoirement autour de ça.

Les personnages eux, sont quand même bien réfléchis, ils ne sont pas créer comme ça, sur un morceau de papier. On sent quand même que l’auteur a réfléchis sur le façon d’être, sur leurs caractères. Notre Indiana a de l’humour dans pas mal de situation, Tyler lui est éperdument amoureux de notre belle Katerina et bien sûr notre héro aussi :D Ehh oui c’est quand même un roman à l’eau de rose xD Mais ce n’est pas trop exagéré non plus, ce qui est très bien.

Donc personnellement, je vous le conseille avec insistance si vous pouvez le lire ;p

On ne perd pas son temps et il se lit vraiment vite ce qui est encore plus énervant parce que forcément on veut avoir la suite xD 

 

Extraits :

"Malgré la douleur, je roulai longtemps, porté par la rage sous les rayons de la pleine lune montante. Et ne réalisai que trop tard ce que j'avais fait.
J'avais franchi les limites de notre territoire. Celui-ci était immense ; si j'étais parti dans l'autre direction, rien de cela ne serait arrivé. Mais dans ce sens, il ne fallait qu'une vingtaine de kilomètres pour arriver chez nos voisins.
Il était inutile de mettre des poteaux ou des clôtures. L'odeur des loups marquait les arbres. Sauf que mon odorat n'était pas assez puissant pour percevoir la différence.
C'est la raison pour laquelle je ne m'attendais pas une seconde à ce qu'un machin poilu et furieux me tombe dessus, m'arrache à mon quad et me propulse à trois mètres de là, me coupant le souffle.
Le temps que je réapprenne à respirer, sa gueule monstrueuse était à dix centimètres de la gorge.
Sans vouloir être désagréable avec Axel, il puait. Il venait sans doute de manger de la chair fraîche et cela se sentait. On avait aussi l'impression qu'il s'était roulé dans du crottin. Je respirai et le regrettai. Non, pas du crottin. De la bouse de vache.
Sachant ce qu'il était, un semi, je ne fermai pas les yeux. J'étais suffisamment courageux, ou stupide, au choix, pour affronter la mort en face.
Soudain, il souffla. Je retins ma respiration. Beurk.
- Tu sens l'odeur des loups, dit-il, articulant avec difficulté tant il se retenait pour ne pas mordre.
D'accord, j'étais doublement mort. Les semis haïssent les loups et vice versa.
J'avais trop mal et j'étais trop fatigué pour résister.
- Vas-y, lui dis-je, finissons-en.
Ses yeux étrangement noirs s´écarquillèrent.
- Tu veux que je te mange ?
- Pas spécialement, non. Mais je serais bien incapable de t'en empêcher.
Le poids qui pesait sur ma poitrine disparut. Je levai les yeux. Il se dressait devant moi, immense. Et son pelage était sombre sous la lune argentée."

 


"Je la méprisais hier. J'avais envie de l'embrasser aujourd'hui.
Foutue puberté."


Les princesses n'embrassent les crapauds que dans les contes de fées !"


Site officiel :  Ici

 

 

 


 

 



25/06/2012
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